«Il aimait beaucoup Serigne Touba» (Cissé Lô)
« C’est une triste nouvelle douloureuse. Nous avions le même combat, un grand diplomate ‘‘bou am fouleu’’, qui aimait beaucoup Serigne Touba. Un homme qui a beaucoup travaillé pour l’Apr. Aujourd’hui tous ceux qui connaissaient Alioune Badara Cissé sont tristes. Il avait des relations privilégiées avec toutes les confréries, c’était un homme ouvert. Le mouridisme a perdu aujourd’hui. »
«Il était fait pour la diplomatie» (Abdoul Mbaye)
«J’apprends avec tristesse que Alioune Badara CISSE, ancien Ministre des Affaires Etrangères s’est éteint. Nous étions collègues dans le même Gouvernement. Comme j’eus à le lui dire, il était fait pour la diplomatie, parce que de commerce agréable. Je présente mes condoléances à sa famille éplorée et prie Dieu qu’il l’accueille en son Paradis.»
«Un grand patriote » (Mimi Touré)
«Une triste nouvelle. J’avais des relations personnelles avec lui. Abc est une grande perte pour sa famille car il aimait beaucoup sa famille. Une perte pour le pays puisque c’était un grand patriote. C’est aussi une perte pour le président car c’était son compagnon, son ami. Puisse Dieu l’accueillir dans son paradis. C’était un grand intellectuel. Un homme de vérité. Un fervent mouride.»
« Je suis choqué » (Mamadou Lamine Diallo)
« Je suis choqué par l’annonce du décès de Maitre Alioune Badara Cissé. Un homme courageux, digne et attaché aux principes démocratiques. Mes condoléances à sa famille, une belle famille, à la médiature et au Khalife Général des Mourides, confrérie à laquelle il appartenait fièrement.
«Un homme courageux, amone fouleu» (Mor Ngom)
« Alioune Badara Cissé était un homme bien, véridique intègre. C’est en 1998, quand je revenais de la France, que nos rapports se sont davantage approfondis. Macky dirigeait les cadres du Pds à l’époque. C’est un homme courageux «bou am fouleu ». Quand Dieu lui a pris son fils (Aux Etats Unis) ils ont été dignes lui et son épouse. Puisse Dieu les accueillir dans son paradis. »
« Je suis dévasté… », (Thierno Bocoum)
« Le décès tragique de son fils m’avait bouleversé. A la levée du corps, je peinais à le regarder. J’étais dévasté. Me rapprochant de lui, il m’avait retenu et m’avait serré fort la main. Nous nous sommes revus après les événements de Mars, commentant son discours, parlant de la situation du pays. Il avait lu mon livre et me faisait part de ses impressions. Nous étions encore retombés dans notre univers de père de famille. Aujourd’hui je suis dévasté par la nouvelle de sa disparition. »